Céphalophe de Grimm – Sylvicapra Grimmia
Céphalophe de Grimm – Sylvicapra Grimmia
Le céphalope de Grimm est un mammifère de l’ordre des Artidactyles que l’on trouve le plus souvent en Afrique, et plus précisément au sud du Sahara.
Physiquement, le Céphalophe de Grimm ressemble à une petite antilope, ayant un pelage plus ou moins clair avec de longs poils et une crête sombre entre deux petites cornes, présentes presque uniquement chez les mâles.
Le Grimm’s Duiker sait s’adapter à son environnement de façon remarquable, il est capable de ne pas boire pendant quelques mois s’il se trouve dans un milieu très aride, il peut également s’aventurer dans les montagnes contrairement à ses cousines les antilopes. Malgré tout, ce mammifère préfère la savane ou les milieux forestiers où il peut se cacher aisément.
Les endroits boisés offrent également l’alimentation qui lui est nécessaire. Le Céphalophe de Grimm est essentiellement herbivore, il mange surtout des fruits, des plantes, mais il peut se nourrir occasionnellement d’insectes, d’oiseaux ou de rongeurs et parfois de charognes.
Le Sylvicapra Grimmia vit généralement seul ou en couple, c’est un animal monogame possédant un territoire délimité. La période de gestation dure en moyenne 120 jours, la femelle met au monde un ou deux petits. Ces derniers sont déjà capables de se tenir debout et de courir le lendemain de leur naissance. Leur mère les nourrit et les garde plusieurs semaines à l’abri dans les hautes herbes; et on peut estimer qu’ils vivront une dizaine d’années.
Enfin, le Céphalophe de Grimm adopte un comportement de protection de son territoire. En cas de menace, le mâle peut poursuivre l’animal indésirable. Pour l’intimider, il renâcle et siffle; et si cette tentative ne fonctionne pas, le mâle peut attaquer pour blesser son adversaire. Mais si le danger est plus grand, le céphalophe va prendre la fuite, il est toujours très attentif à son environnement et est connu pour sa rapidité à réagir. Il échappe donc à tous les prédateurs qui peut se trouver aux alentours. Ces capacités impressionnantes permettent à cet animal de survivre, et pour l’instant l’extinction de cette espèce n’est qu’une préoccupation mineure pour les scientifiques.